La vraie recette du Coach’olat

La vraie recette du Coach’olat

Comment allier travail et plaisir ? Dans mon cas, c’est simple : coacher le comité de direction d’un MOF (Meilleur Ouvrier de France) artisan chocolatier et pâtissier.  

J’ai toutes les papilles en éveil !

Ma mission ? Accompagner la réflexion du Comité de Direction sur la vision, les objectifs et l’organisation à 3 ans de cette PME. Le dirigeant, avec qui j’ai déjà travaillé, me contacte en me disant «l’entreprise va bien, la croissance a été maîtrisée, aujourd’hui, nous avons besoin d’un regard neuf pour nous structurer, gagner en efficacité et développer la montée en compétences de collaborateurs pour les fidéliser. Nous sommes au maximum de ce que l’on peut réfléchir seul ».

Défi (gourmand 😉) accepté, c’est l’occasion pour moi de revenir un peu sur ce que je peux apporter en tant que coach sur ce genre de moments clés dans la vie d’une entreprise.

Le coaching d’entreprise : un tiers extérieur pour ouvrir des perspectives et passer certains caps stratégiques

Dans la vie d’une entreprise, certains moments clés vont avoir des conséquences très importantes. Il peut s’agir d’une transmission d’entreprise, de départs à la retraite de collaborateurs majeurs, ou encore de la formation à de nouveaux postes stratégiques. Et, comme me l’a dit très justement mon client, dans ces moments-là, bénéficier d’un regard extérieur peut vraiment aider à passer des caps. Je vois plusieurs intérêts à mes interventions au sein des Comités de Direction :

  • en tant que tiers extérieur, je suis dans une posture d’ouverture. Autrement dit, je vais à la fois pouvoir comprendre les enjeux en présence, du fait de mes nombreuses années de pratique au sein de PME et aussi assurer la porosité avec l’extérieur, le contexte, les tendances, les pratiques hors de l’entreprise. C’est exactement ce qu’exprime mon client lorsqu’il parle « d’un regard neuf». C’est en somme la capacité à penser « outside the box » ou, en français dans le texte « penser en dehors de la boîte (…de chocolats) », qu’il vient chercher en faisant appel à moi.
  • en tant que facilitatrice, je vais également aider à faire émerger des solutions que le Comité de Direction possède déjà mais qu’il peut avoir du mal à faire émerger. Mon rôle de coach, c’est aussi ça. Comprendre comment faire travailler les collaborateurs ensemble pour en sortir le meilleur.
  • être aussi garante du résultat dans le temps imparti, avec une feuille de route claire.

Accompagner l’évolution tout en prenant soin de l’existant

Cette PME artisanale s’est développée progressivement et de façon saine. Portée par des valeurs de qualité et de respect, elle possède vraiment ce que j’appelle « une âme ». Et la conserver est primordiale. En effet, c’est là un des enjeux majeurs de cet accompagnement ! Coacher le comité de direction de ce MOF tout en conservant son âme et son savoir-faire artisanal, 

Et, c’est là que mon métier rejoint celui de la dentellière 😊. On va faire dans la dentelle donc, au cas par cas en veillant à prendre soin des fondamentaux. Grandir oui mais pas n’importe comment. Et c’est ça aussi sans doute, le rôle du coach : être là pour veiller au grain, s’assurer que l’entreprise garde son âme. Un coach est donc aussi un peu un veilleur, un garant 😊

Pour tout vous avouer, dans ma précédente vie professionnelle, j’ai nourri mon côté épicurien en travaillant dans des entreprises agro-alimentaire haut de gamme et un des postes était chef de marché chocolat avec ce MOF !

J’ai conservé de cette époque une véritable passion pour le chocolat noir !

Je suis donc très heureuse de retrouver ce secteur et d’accompagner cet artisan-chocolatier.

Et si, vous aussi, vous êtes confrontés à des caps stratégiques ou que vous sentez qu’un regard extérieur aiguisé peut vous aider, contactez-moi !

Questionner les pratiques numériques en entreprise

Questionner les pratiques numériques en entreprise

Je surveille toujours avec intérêt la sortie du rapport de l’Observatoire de l’Infobésité et de la Collaboration Numérique (OICN). En effet, ce document est un très bon outil pour suivre les évolutions des pratiques numériques en entreprise et leur impact sur les organisations et les individus. Forcément, ça résonne avec ce que je constate sur le terrain ! Et, si la question de l’hyper-connexion n’est pas récente, on se rend bien compte, à la lecture du rapport 2024 de l’OICN, de l’importance pour les organisations de se questionner plus en profondeur sur les usages numériques. Notamment en raison de la charge mentale qui y est associée et de l’impact des outils numériques sur le bien-être au travail.  Pénibilité numérique, hyper-connexion, hyper-réactivité, congés numériques, que nous enseigne ce nouveau rapport ?

La lourde charge de travail numérique : des emails toujours des emails !

En moyenne, une personne passe 4h15 par semaine à gérer ses emails. Ce temps passe à plus de 10h/semaine pour les dirigeants ! En effet, le rapport intègre cette année une approche par persona et fournit des données en distinguant les usages des collaborateurs, des managers et des dirigeants. Cette omniprésence de l’email (14% des dirigeants gèrent plus de 500 emails par semaine) s’explique notamment par le besoin d’avoir des traces écrites, encore plus dans un contexte de travail asynchrone. Pour aider à alléger cette charge de travail numérique, l’OICN donne quelques pistes inspirantes. 

  • Qui ne s’est pas retrouvé destinataire d’un email qui ne le concernait que de loin ? Ainsi, une des pistes d’amélioration réside dans l’identification collective des emails inutiles et/ou irritants afin de pouvoir les supprimer.
  • Il s’agit également de réapprendre à utiliser d’autres modes d’échanges et de reconnaissance : engager une conversation réelle permet souvent de sortir d’une boucle d’emails sans fin !

Hyper-connexion et hyper-réactivité : comment sortir du « plus et plus vite » ?

De nombreux emails sont envoyés hors du temps de travail. Ainsi, c’est le cas pour 17% des emails d’un collaborateur et de 28% des emails des dirigeants. Soirées et week-ends connectés sont fréquents avec pour conséquence l’impossibilité de couper, de respirer, de déconnecter. Pour favoriser la déconnexion, l’OICN recommande par exemple de séparer son téléphone professionnel de son téléphone personnel. Il souligne également l’importance de clarifier en équipe la question de ce qui est urgent.

L’hyper-réactivité gagne encore du terrain ! Ainsi, 18% des réponses des collaborateurs sont envoyés en moins de 5 minutes. Baignés dans la culture de l’urgence, nous sommes donc fréquemment dans la réaction plus que dans la réponse. En outre, l’OICN aborde la question du syndrome du « Getting Things Done » : plus on répond vite, plus on se libère de la tâche et donc de la charge mentale qui est associée. Pour sortir de l’hyper-réactivité, l’OICN recommande par exemple de préciser les délais de réponse attendu dans l’objet du mail et de faire de l’urgence une exception.

L’importance de s’accorder de vrais congés numériques, pour se ressourcer et se préserver

On parle de congés numériques lors des moments où nous n’envoyons aucun mail. 65% des dirigeants ne prennent aucun congé numérique. On est à 39% chez les managers et 28% pour les collaborateurs. Qu’il s’agisse de la peur de manquer une chose importante (le fameux FOMO : Fear Of Missing Out) ou du besoin d’anticiper la charge de travail au retour de vacances, les raisons sont nombreuses de ne pas couper totalement du travail.

Or, on sait depuis un moment déjà que cette absence de temps de pause pèse sur le bien-être et la santé mentale des salariés. D’autant plus qu’il existe, en France, un droit à la déconnexion.

Il reste donc encore pas mal de chemin à parcourir en matière d’usage du numérique en entreprise. D’autant que, comme le rappelle Suzy Canivenc, Chercheure à la Chaire Futurs de l’industrie et du travail ~ Mines Paris PSL et à l’OICN, en préambule du rapport de l’OICN :

« Malheureusement, la course à l’échalote technologique empêche de prendre le temps de réfléchir à ces usages et à leurs dommages collatéraux sur la qualité du travail comme sur la qualité de vie au travail. ».

Concilier numérique et bien-être au travail nécessite un travail de fond, des réflexions stratégiques collectives que le coaching peut aider à faire émerger. Contactez-moi et discutons des pratiques numériques en entreprise !

Le bénévolat en tant que coach : aider, contribuer et nourrir sa pratique

Le bénévolat en tant que coach : aider, contribuer et nourrir sa pratique

Ça fait plus de 10 ans que je suis coach professionnelle. Dans ce métier, il est primordial de se questionner, de se former, d’être supervisée, d’être en veille et de pressentir les changements/évolutions à venir. Et, en parallèle, ce qui me parait essentiel dans mon travail de coach c’est de préserver l’envie d’exercer et d’accompagner tout en donnant. Pour y contribuer, j’exerce ma profession de coach bénévolement dans deux associations : 60 000 rebonds dont l’objectif est d’accompagner au rebond des entrepreneurs et dema1n qui aide les étudiants. Elles me permettent d’enrichir ma vision, ma pratique de coach. Et, je suis nourrie par toutes ces histoires de vie, cette richesse humaine, par la bienveillance « professionnelle » 😉

Accompagner au rebond : 60 000 rebonds, une association qui aide les entrepreneurs à se relancer

L’association 60 000 rebonds accompagne des entrepreneurs dans leur rebond. En effet, il s’agit d’entrepreneurs dont l’entreprise est en cours de liquidation ou dont la liquidation a déjà été prononcée. Nous accompagnons l’entrepreneur en rebond dans sa globalité avec un dispositif d’experts et de partenaires ainsi qu’un binôme composé d’un coach et d’un parrain.  Les entrepreneurs sont ainsi accompagnés sur plusieurs dimensions (juridique, financière, psychologique etc ..). Pour ma part, j’accompagne les entrepreneurs dans un premier temps sur l’acceptation de la situation, l’acceptation des erreurs vécues telles quelles. C’est une étape, délicate et très importante. Il s’agit d’un processus de deuil avec de forts impacts émotionnels au regard de l’investissement global, de l’énergie déployée, du temps et de l’argent.  L’entrepreneur doute de ses capacités, de ses compétences.

Mon rôle de coach c’est aussi de travailler dans un deuxième temps sur la valorisation des erreurs, les apprentissages de cette expérience et à terme sur le rebond professionnel. Cet accompagnement se fait en lien constant avec les autres intervenants de l’association et notre référente régionale. Pour coordonner les accompagnements, les experts, les coachs, les parrains et les entrepreneurs en rebond se réunissent une fois / mois pour faire le point sur leurs situations et challenger l’avancement de leurs projets. C’est également un espace de discussion qui prend parfois la forme d’un CoDev spécifiquement pour un entrepreneur.  Ainsi, accompagner les entrepreneurs dans leur rebond est très nourrissant, les entrepreneurs accompagnés en retirent de réels bénéfices, rebondissent.  Nous sommes toujours très émus par leur rebond et leurs remerciements.

Dema1n : une association qui accompagne des jeunes en questionnement

Dema1n est une plateforme gratuite de mentorat. Sur Dema1n, les jeunes étudiants peuvent être accompagnés pour avancer dans leurs études ou leur projet professionnel. Les étudiants que j’ai accompagnés étaient souvent en baisse de motivation ou un peu perdus dans leur démarches. Mon accompagnement, qui se fait en ligne, peut porter sur des thématiques variées. Je m’adapte au besoin et aux demandes. Tout en gardant toujours à l’esprit que l’objectif est de leur permettre d’avancer dans leur projet. Mon mentorat peut porter par exemple sur des conseils en lien avec un CV ou un entretien. Ou, plus globalement, il peut viser à remobiliser l’étudiant, à lui faire prendre conscience des ses atouts et de comment les mettre en avant.

Ces activités bénévoles de coaching sont fondamentales pour moi. En effet, accompagner au rebond est très intéressant. Les coachés sont des personnes vraiment riches et l’accompagnement se fait à un moment charnière. De la même façon, travailler avec des étudiants me permet d’enrichir ma vision. En outre, j’approche des thématiques très spécifiques à ces jeunes et à leur diversité. J’aime mettre mes compétences à disposition de ces associations. En retour, toutes ces belles rencontres et ces situations très enrichissantes me nourrissent personnellement et professionnellement.

Et vous, qu’est ce qui vous nourrit dans votre métier ? Envie d’en discuter ? Contactez-moi !

Connaissez-vous le « crado-test’onnement ? »

Connaissez-vous le « crado-test’onnement ? »

Connaissez-vous le crado-testing ou crado-testonnement ? Si ce n’est pas encore le cas, je vous invite à vous y intéresser de près 😊. En effet, selon Maximilien Brabec, prof à l’ESCP en stratégie, innovation et entrepreneurship, cette approche expérimentale faciliterait la capacité des entreprises à transformer les mutations en opportunités. Et, dans un monde VUCA, ça a tout son sens 😉

Pour innover, contournons nos biais !

Dans son article intitulé « Comment transformer les mutations en leviers stratégiques ? » publié sur Harvard Business Review, il explique très bien comment nous pouvons être aveuglés par nos biais. Il précise ensuite  comment ils peuvent nuire à notre capacité à trouver des solutions créatives face aux (nombreuses !) mutations, actuelles et à venir, de l’environnement.

Face à ce constat, il préconise de mettre en place des méthodes permettant de détourner ces biais. Parmi elles, le crado-test’onnement ou crado-testing.

Mais qu’est ce que le crado-testing ou crado-testonnement ?

Le crado-testing est une méthode empirique qui facilite l’émergence d’idées différentes et donc, potentiellement, innovantes. Il va permettre des tester des idées créatives, qui bousculent nos évidences. 

Peu coûteux, le crado’testing peut être mis en place simplement, si on respecte quelques règles de base. Pour qu’il soit utile, les idées récoltées devront être analysées en se concentrant sur les étonnements, les idées qui sortent des clous, qui peuvent paraître farfelues… ou complètement inattendues.

Bien sûr, il est nécessaire que le protocole de crado-testing soit rigoureux. Il ne s’agit pas de faire n’importe quoi. Ainsi Maximilien Brabec conseille de bien définir les résultats attendus en amont. Lors de l’analyse des résultats, il sera particulièrement pertinent de s’attarder sur « les non-évidences notamment :

  • Les Inattendus : des événements qui paraissaient impossibles
  • Les Ridicules : des idées qui semblent absurdes
  • Les Impossibles : des concepts que l’on juge irréalisables
  • Les Contraires à l’existant : des hypothèses à l’opposé du modèle actuel (« A »), et qui créent de « l’étonnement ». »

Alors, prêts à tester vos idées en mode crado ?

Ouvrir de nouveaux possibles n’est pas si facile. Même si le crado-testing ou crado-testonnement parait simple à mettre en oeuvre, il nécessite de la préparation, un cadre, une analyse et une restitution bien spécifiques.

Rompue à ce genre d’exercices pour faire émerger collectivement des idées précieuses et utiles dans un contexte favorisant, je suis disponible pour en discuter avec vous !

Quel est le rapport entre le conditionnement opérant et les vacances ?

Quel est le rapport entre le conditionnement opérant et les vacances ?

Les vacances arrivent, peut-être même sont-elles déjà là pour certains et, avec elles, normalement, une nécessaire et salutaire déconnexion. Pleins de bonnes intentions, on se dit que cette fois, c’est sûr, on décroche totalement du boulot. On ne regarde pas ses mails, on profite de ses proches, on vit l’instant, bref, on se fait du bien. Parce que c’est fait pour ça les vacances, non ?! Quand on réalise que le mot vacances tire son origine du latin vacans qui signifie « être libre, inoccupé, oisif », on comprend bien le principe du « ne rien faire », surtout du « ne rien faire qui ait un rapport avec le travail ». Mais, alors, pourquoi avons-nous souvent le besoin de consulter notre messagerie pro. malgré tout ? D’après Xavier Floquet, auteur d’un article intitulé « Pourquoi sommes-nous accros à nos e-mails professionnels ? », ce besoin est une conséquence directe de notre fonctionnement ancestral. En cause ? Un mode de fonctionnement psychologique connu depuis le début du vingtième siècle : le conditionnement opérant.

Le conditionnement opérant : késako ?

Décrit pour la première fois par Burrhus Skinner (1904-1990), psychologue américain, le conditionnement opérant est un mode de fonctionnement décrivant le comportement d’un organisme. Skinner a en effet observé que certains de nos comportements peuvent être déclenchés voire renforcés par la perspective d’un évènement, d’un stimulus ultérieur. Dans son article Xavier Floquet précise que « dans le conditionnement opérant, à chaque fois qu’une conséquence favorable est obtenue, le comportement est donc renforcé ». Il prend l’exemple des fruits cueillis et mangés par nos ancêtres chasseurs/cueilleurs. Il décrit ainsi les différentes étapes du conditionnement opérant :

  • le déclencheur : la faim
  • le comportement : cueillir et manger le fruit
  • le stimulus extérieur / la conséquence : les effets agréables du sucre sur l’organisme.

On retrouve d’ailleurs ce mécanisme de conditionnement opérant dans un bon nombre de comportements addictifs. Qu’il s’agisse de nourriture, de tabac, d’alcool, de consulter nos mails en vacances ou de notre rapport aux réseaux sociaux !

Comment déconnecter (vraiment) du travail en vacances ?

Ainsi, si nous sommes affreusement tentés de répondre à ce mail pro alors que nous sommes en vacances c’est que nous en recevons une satisfaction. Meilleure image de soi, sentiment d’être indispensable, sentiment du devoir accompli, espoir d’une promotion ?!

Et, vous savez quoi, le sujet de l’hyper connexion pendant les absences, les vacances, le soir et le WE est dans tous les coachings individuels 😉

Alors, comment dépasser ça et parvenir à déconnecter du travail pendant les vacances ?

La déconnexion, c’est encore et toujours du pas à pas , en se demandant ce qui est bon pour soi et quel premier pas puis-je faire pour moins me connecter ? 

On peut profiter de ce défi de l’été pour travailler sur cette question d’urgence et parvenir à relativiser. On peut le faire notamment en travaillant sur ses pensées et sur le fameux hamster de Serge Marquis, ça sert aussi beaucoup pour remettre les choses en perspective et redéfinir ses priorités.

Pour vous aider, je vous donne quelques exemples éprouvés par mes coachés. Ainsi, il peut s’agir dans un premier temps :

  • d’un message d’absence bien rédigé indiquant les coordonnées d’une personne à contacter en cas de besoin urgent.
  • de donner des consignes à son équipe et à son n+1  du type : « Je vous remercie de me contacter uniquement pour … »
  • d’acheter un téléphone personnel pour laisser de côté le téléphone professionnel.
  • de se fixer des règles du type  « je regarde mes mails uniquement deux fois par semaine 1h. »

La déconnexion n’est-elle d’ailleurs pas aussi une façon de renforcer la confiance, de responsabiliser pendant son absence ? Et pour vous, de profiter pleinement de cette pause et donc de revenir en forme, reboosté ? A ce titre, elle peut faire pleinement partie de sa stratégie managériale.

Et vous ? Parvenez-vous à déconnecter en vacances ? Avez-vous des astuces pour y arriver ?